Depuis l’annonce de sa candidature à la présidentielle de 2024, le président du CESE, Idrissa Seck et ses ministres qui ont intégré le gouvernement sont sommés de quitter leurs postes. Pour Abdoulaye Diouf Sarr, premier vice-président de l’Assemblée nationale, Idy n’a plus sa place à la tête de l’institution qu’il dirige.
« La politique en démocratie postule l’élégance et la cohérence pour ne pas empêcher la lisibilité dans le choix des citoyens. Idrissa Seck n’a plus sa place à la tête du CESE, après sa déclaration de candidature. Je ne vois pas dans ce contexte comment des avis provenant de cette institution seront considérés crédibles par le gouvernement», a réagi Diouf Sarr dans une interview.