La directrice générale de l’Agence sénégalaise pour la promotion des exportations (ASEPEX), Zahra Iyane Thiam, s’interroge sur la posture des médias d’État français et se demande si elle est due au retard de la France et des sociétés françaises dans l’exploitation des nouvelles ressources. Sur Twitter, elle se demande si cela justifie la campagne de déstabilisation et les attaques contre le Sénégal, et elle s’interroge également sur la nouvelle attitude des néo partisans de “France aime moi”.
Cette prise de position fait suite à différents reportages réalisés par des médias français sur la présence présumée de “nervis du pouvoir” aux côtés des forces de l’ordre lors des manifestations. Les médias d’État français ont été critiqués pour leur couverture jugée biaisée et partiale de la situation au Sénégal.
Zahra Iyane Thiam soulève donc la question de savoir si cette posture médiatique est liée à un manque d’intérêt de la France et des sociétés françaises dans l’exploitation des nouvelles ressources du Sénégal. Elle se demande si les médias d’État français cherchent à déstabiliser le pays en raison de cette situation.
Elle fait également référence à une nouvelle attitude des néo partisans de “France aime moi”, sans donner plus de détails sur cette expression. Il est possible qu’elle fasse allusion à des groupes ou des individus qui soutiennent activement les intérêts français, mais d’une manière qui suscite des interrogations.
Zahra Iyane Thiam soulève des questions sur la posture des médias d’État français, suggérant un lien possible avec le retard de la France et des sociétés françaises dans l’exploitation des nouvelles ressources du Sénégal. Elle se demande si cela explique la campagne de déstabilisation et les attaques contre le pays, tout en interpellant les nouveaux partisans de “France aime moi” sur leur attitude.