Le 3 février 2021, une jeune employée d’un salon de massage avait accusé de viols répétés Ousmane Sonko, figure de l’opposition à la tête du Pastef. L’opposant, candidat déclaré à la présidentielle de 2024 dénonce un complot politique. Tandis que le gouvernement réfute cette théorie du complot.
Une affaire judiciaire qui avait provoqué de violentes émeutes et 13 morts officiellement. A rappeler que Ousmane Sonko s’est rendu plusieurs fois à Sweet Beauty pour des séances de massages. Le leader de Pastef affirme y aller pour soulager son mal de dos. Par la suite il est accusé de viols répétés par l’ancienne employée dudit salon de massage. Par ailleurs, Sonko clame partout être victime d’un complot du gouvernement notamment, du Prédisent de la République en personne. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, le leader de Pastef ne dit jamais en quoi consiste le complot exactement. À l’entendre on dirait qu’il s’agit d’un complot à posteriori, ce qui est assez cocasse comme notionnel au sens Aristocratique du terme.
Le gouvernement de son coté a toujours écarté la thèse du complot car “n’étant mêlé ni de prés, ni de loin”. D’ailleurs Me Moussa Bocar affirme dans un entretien accordé à nos confrères d’Opinions libres tv “une personne qui part à plusieurs reprises dans un salon de massage de son propre chef. Ne peut pas faire endosser au gouvernement la responsabilité d’être accusé de viol”. Plus loin le Ministre de la communication, des télécommunications et de l’économie numérique ajoute “il y’a beaucoup de manipulations”. S’agissant des audios qui circulent, le Ministre explique qu’avec les logiciels actuels, il est possible de truquer une voix. Ainsi faire dire à une personne des propos qu’elle n’a jamais tenu.