Pour une soirée culturelle bien arrosée, la troupe du Mali a donné le ton dans une belle chorégraphie. Une ambiance fusionnelle a pris tout un stade le temps d’une prestation. Une assistance en délire composée essentiellement de jeunes et de femmes.
Tenez-vous bien les Soninkés savent chanter et danser dans une belle mélodie et sans aucune fausse note.
Le Festival International Soninké (FISO) c’est joindre l’utile à l’agréable, profiter de l’événement pour promouvoir le génie créateur des artistes et autres talents de la communauté soninké de la sous région ouest africaine et de la diaspora.
Le rendez vous de Nouakchott en Mauritanie pour cette septième (7éme) édition est venue pour signer un nouveau départ voire un déclic pour la sauvegarde de la culture et de la langue Soninké, en l’écrivant, en l’apprenant pour qu’elle ne disparaît pas. Pour y arriver, il faut impérativement mettre à contribution les artistes à travers la chanson pour garder jalousement cette culture et cette langue qui est millénaire. L’art comme la culture est au début et à la fin de tout développement théorisait le feu poète Léopold Sédar SENGHOR ancien Président de la République du Sénégal.
Abdoulaye TIMERA envoyé spécial de xolal.sn à Nouakchott en Mauritanie