Le chef des opérations humanitaires de l’ONU, Martin Griffiths, a été vivement condamné mercredi pour le bombardement du camp de réfugiés de Jabaliya, qui a engendré la perte de nombreuses vies. Il a qualifié cet acte de « la dernière atrocité en date frappant les habitants de Gaza ». Dans un communiqué, il a exprimé sa préoccupation face à la détérioration constante de la situation dans la région, déplorant que « le monde semble incapable, voire réticent à agir » pour mettre fin à cette guerre et atténuer les souffrances des civils innocents.
Cette nouvelle attaque, qui a eu lieu dans le camp de réfugiés de Jabaliya, est survenue alors que les combats à Gaza ont pris une tournure encore plus effroyable. Les conséquences humanitaires de ce conflit s’aggravent de jour en jour, mettant en péril la vie et le bien-être des résidents de Gaza. Martin Griffiths a insisté sur la nécessité d’une action immédiate pour mettre un terme à cette spirale de violence qui entraîne d’innocentes victimes.
L’appel pressant du chef des opérations humanitaires de l’ONU met en lumière l’urgence de la situation à Gaza et souligne la nécessité d’une réponse internationale efficace pour mettre fin à cette guerre dévastatrice. Il espère que la communauté internationale saura prendre des mesures concrètes pour mettre un terme à cette crise humanitaire et garantir la sécurité des civils pris au piège de ce conflit destructeur.