«Je sais que je n’aurais pas dû faire ça. Jamais je n’ai voulu me retrouver à la porte de mon foyer pour une histoire que j’ai moi-même cherchée. Laissez moi vous expliquer comment une petite fille de 18 ans, que j’ai moi-même embauchée pour séduire mon mari, a fini par me jeter à la porte de ma maison et occuper les lieux comme maîtresse de chez moi », avoue Balida Assi.
Balida Assi a épousé son homme il y a 5 ans et depuis leur mariage, il lui a juré fidélité, mais elle ne le croyait pas. « Après 5 ans sans jamais l’attraper, j’ai fini par me dire que c’était possible, mais il me fallait être sûre avant de lui accorder le 100 % de ma confiance. C’était l’erreur à ne jamais commettre. J’ai mis du piment dans mes propres yeux », explique-t-elle.
Pour se rassurer, Balida Assi a embauché Sita, une jeune fille de 18 ans, pour séduire son époux en échange de 100 000 francs. Sita a commencé à le coincer quand il allait voir les parents de Balida Assi jusqu’à ce qu’elle obtienne son numéro. Balida Assi était tenue informée de tout par Sita.
Quelques temps après, Sita a informé Balida Assi que son époux était trop fidèle pour la tromper, et Balida Assi l’a crue. Elle a pensé qu’elle avait le meilleur homme du monde, lui a remis son argent et a continué sa vie de femme heureuse dans son foyer.
Mais il y a deux semaines, Balida Assi a constaté que son époux ne mangeait plus ses repas et ne la touchait plus au lit. Elle a pensé qu’il était stressé au travail, sans savoir que Sita avait vendu son secret à son époux avec des preuves à l’appui.
Son époux lui a demandé de rentrer chez elle car Sita serait enceinte et qu’il compte l’épouser, car Balida Assi est la cause de cet incident. Balida Assi a essayé de lui expliquer en vain. Dans la soirée, Sita s’est rendue chez Balida Assi pour faire une crise et ensemble, son époux et elle l’ont mise à la porte. Elle est actuellement chez ses parents, qui disent ne pas savoir quoi faire car tout est de sa faute. Elle est perdue, mais elle veut retrouver son foyer et demande de l’aide.
